Citations de Frankenstein

Mary Shelley

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“Je suis méchant, parce que je suis malheureux.” Mary Shelley, Frankenstein
“Il est vrai que nous serons des monstres séparés du monde entier ; mais nous en serons plus attachés l'un à l'autre. Nous ne vivrons pas heureux, mais nous serons innocens, et à l'abri du malheur que j'éprouve maintenant.” Mary Shelley, Frankenstein
“je sentis quels étaient les devoirs d'un créateur envers celui qu'il a formé ; je compris que je devais le rendre heureux, avant de me plaindre de sa méchanceté” Mary Shelley, Frankenstein
“Comment l'homme était-il si puissant, si vertueux, si grand, et en même temps si méchant et si bas ? Tantôt il paraissait une véritable émanation du mauvais principe ; tantôt une conception noble et divine.” Mary Shelley, Frankenstein
“Hélas ! Victor, quand le mensonge prend si bien l'air de la vérité, qui peut être assuré d'un bonheur certain ?” Mary Shelley, Frankenstein
“Un homme parfait doit toujours maintenir son esprit dans le calme et dans la paix ; sa tranquillité ne doit jamais être troublée par une passion ou par un goût passager.” Mary Shelley, Frankenstein
“Malgré l'abattement de son esprit, personne ne peut jouir plus vivement que lui des beautés de la nature. Un ciel étoilé, la mer et toutes les vues que présentent ces régions étonnantes semblent encore avoir le pouvoir d'élever son âme...” Mary Shelley, Frankenstein
“soyez hommes, ou soyez plus que des hommes. Persévérez dans vos projets, et soyez aussi fermes qu'un roc. Cette glace n'est pas faite d'une matière telle que vos cœurs pourraient l'être ; il se peut qu'elle change, il se peut qu'elle ne vous...” Mary Shelley, Frankenstein
“Rien n'est aussi pénible pour l'esprit humain qu'un changement complet et subit.” Mary Shelley, Frankenstein
“Homme . . . tu as beau t'enorgueillir de ta sagesse, tu n'en es pas moins ignorant !” Mary Shelley, Frankenstein
“Je devins poète aussi, et pendant une année je vécus dans un paradis de ma propre création. Je pensais pouvoir obtenir aussi une place dans le temple où sont consacrés les noms d'Homère et de Shakespeare.” Mary Shelley, Frankenstein
“Après des jours et des nuits d'un travail et d'une fatigue incroyables, je parvins à connaître la cause de la génération et de la vie ; je devins même capable d'animer une matière inerte.” Mary Shelley, Frankenstein
“que de choses nous pourrions apprendre, si la lâcheté ou l'insouciance n'arrêtaient pas nos recherches.” Mary Shelley, Frankenstein
“les compagnons de notre enfance possèdent toujours sur nos esprits un certain pouvoir, qu'un nouvel ami peut à peine obtenir.” Mary Shelley, Frankenstein
“Rien n'est plus pénible pour le cœur de l'homme, que le calme glacial qui succède aux sentimens divers soulevés par une suite rapide d'événemens, et la certitude qui enlève en même temps l'espérance et la crainte.” Mary Shelley, Frankenstein
“Le monde était pour moi un secret que je désirais pénétrer” Mary Shelley, Frankenstein
“Combien nos sentiments sont variables ! Combien est étrange cet amour opiniâtre de la vie, même dans l'excès de la misère !” Mary Shelley, Frankenstein
“Quoique la vie ne soit qu'une accumulation de tourmens, elle m'est chère, et je la défendrai.” Mary Shelley, Frankenstein
“j'avais désiré atteindre ce but avec une ardeur immodérée ; et, maintenant que j'y étais parvenu, la beauté du rêve s'évanouit ; mon cœur se remplit d'une horreur et d'un dégoût affreux.” Mary Shelley, Frankenstein
“Il se passa beaucoup de temps avant que je découvrisse l'unique cause de l'inquiétude de cette aimable famille ; c'était la pauvreté dont ils avaient à supporter toute l'horreur.” Mary Shelley, Frankenstein
“la douleur excessive éteint toutes les facultés, ou rend même incapable de remplir les devoirs journaliers, sans lesquels l'homme n'est pas propre à la société.” Mary Shelley, Frankenstein
“Vivre sans amis, c'est assurément vivre malheureux ; mais le cœur de l'homme qui est dégagé de tout intérêt particulier, ne renferme qu'amour fraternel et charité.” Mary Shelley, Frankenstein
“Pour examiner les causes de la vie, nous devons d'abord avoir recours à la mort.” Mary Shelley, Frankenstein
“J'étais bienveillant et bon ; le malheur m'a rendu semblable au génie du mal. Rendez-moi heureux, et je pratiquerai encore la vertu.” Mary Shelley, Frankenstein
“Prends-y garde ; car je suis sans crainte, et par conséquent puissant.” Mary Shelley, Frankenstein
“Je devrais être pour vous un Adam ; mais je suis plutôt l'ange déchu, que vous privez du bonheur, sans que j'aie commis aucun forfait.” Mary Shelley, Frankenstein
“Apprenez de moi, sinon par mes préceptes, du moins par mon exemple, combien la science est dangereuse. Soyez-en certain : l'homme qui croit que sa ville natale est le monde, est plus heureux que celui qui aspire à s'élever plus qu'il ne peut...” Mary Shelley, Frankenstein
“Ah ! le malheureux peut se résigner ; mais le coupable ne peut goûter de repos. Les remords empoisonnent le plaisir qu'on pourrait trouver à s'abandonner à l'excès du chagrin.” Mary Shelley, Frankenstein
“si je ne puis inspirer l'amour, j'inspirerai la crainte” Mary Shelley, Frankenstein
“Ma vie entière me paraissait un songe ; je doutais quelquefois de la vérité, car elle ne se présentait jamais à mon esprit avec sa force réelle.” Mary Shelley, Frankenstein
“Je pensais qu'ils supporteraient difficilement le premier abord, mais que, par une conduite douce et des paroles conciliantes, je pourrais gagner leur faveur, et ensuite leur amour.” Mary Shelley, Frankenstein
“De quelle étrange nature est l'instruction ! Elle s'attache à l'esprit, lorsqu'elle lui a été une fois inculquée, comme le lichen au rocher.” Mary Shelley, Frankenstein
“Un éclair brilla et le découvrit entièrement à ma vue ; sa stature gigantesque et la difformité de son aspect plus hideux qu'aucune forme humaine, ne me permirent pas de douter que ce ne fût le malheureux, l'infâme démon à qui j'avais...” Mary Shelley, Frankenstein
“Avec ces titres, il peut paraître inconvenant que je m'explique dans cette occasion ; mais, au moment de voir une malheureuse créature livrée à la mort par la lâcheté de ses prétendus amis, je désire qu'on me permette de rendre...” Mary Shelley, Frankenstein

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