“ Un homme comme vous, ça devrait vous plaire, quand une femme vous regarde comme ça ! Ce n’est pas naturel. Vous êtes un homme. Et, vous me croirez si vous voulez, mais je serai bien heureuse le jour où vous tomberez sur une femme qui vous plaira. ”
Jack London, Martin Eden (1909). copier la citation
Auteur | Jack London |
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Œuvre | Martin Eden |
Thème | femmes naturel |
Date | 1909 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Claude Cendrée |
Lien web | https://beq.ebooksgratuits.com/classiques/London-Martin.pdf |
Contexte
“Il y a quelque chose qui ne va pas, dans votre machine à penser. Même moi, qui ne suis rien, je peux voir ça !
Il marchait à côté d’elle, pensif.
– Je donnerais n’importe quoi pour vous voir sorti de là ! s’écria-t-elle brusquement. Un homme comme vous, ça devrait vous plaire, quand une femme vous regarde comme ça ! Ce n’est pas naturel. Vous êtes un homme. Et, vous me croirez si vous voulez, mais je serai bien heureuse le jour où vous tomberez sur une femme qui vous plaira. Quand il quitta Lizzie à l’école du soir, il retourna tout droit au Métropole.
Une fois dans sa chambre, il tomba dans un grand fauteuil et se mit à regarder fixement, droit devant lui. Il ne sommeillait pas, ne pensait à rien, son cerveau était vide, sauf aux instants où des taches colorées, lumineuses, formaient des images vagues sous ses paupières.” source
Il marchait à côté d’elle, pensif.
– Je donnerais n’importe quoi pour vous voir sorti de là ! s’écria-t-elle brusquement. Un homme comme vous, ça devrait vous plaire, quand une femme vous regarde comme ça ! Ce n’est pas naturel. Vous êtes un homme. Et, vous me croirez si vous voulez, mais je serai bien heureuse le jour où vous tomberez sur une femme qui vous plaira. Quand il quitta Lizzie à l’école du soir, il retourna tout droit au Métropole.
Une fois dans sa chambre, il tomba dans un grand fauteuil et se mit à regarder fixement, droit devant lui. Il ne sommeillait pas, ne pensait à rien, son cerveau était vide, sauf aux instants où des taches colorées, lumineuses, formaient des images vagues sous ses paupières.” source