1o que rien n’est plus aisé que d’obéir à la nature : on n’a qu’à suivre sa nature
 Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation

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Auteur Marc Aurèle
Œuvre Pensées pour moi-même
Thème nature
Date vers 170-180
Langue Français
Référence
Note Traduit par Auguste Couat
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/...

Contexte

“330) , qui invoque de nombreux passages de Marc-Aurèle (IV, 3 ; VI, 22 ; VII, 20 ; VIII, 1) pour justifier ici la conjecture de Coraï : περισπάτω. Les manuscrits donnaient παρειπάτω.] ↑ [D’où il suit : 1o que rien n’est plus aisé que d’obéir à la nature : on n’a qu’à suivre sa nature ; — 2o que la loi, volonté de la nature, c’est la raison, organe de notre nature, qui nous la donne ; bref, que nous sommes autonomes (cf. infra XI, 20, note finale) . Si l’on en croyait Diogène Laerce” source