“ Le hasard n’apporte rien qui ne soit la condition des desseins de la nature. ”
Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation
Auteur | Marc Aurèle |
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Œuvre | Pensées pour moi-même |
Thème | nature hasard |
Date | vers 170-180 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Auguste Couat |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/... |
Contexte
“— La préférence accordée ici à P et à A nous oblige à écrire à la fin de la phrase précédente κατάλληλον εἰς ὑγίειαν, sur leur témoignage, et non πρός ύγίειαν, qui est la leçon de Planude. Ces diverses restitutions ne modifient pas, d’ailleurs, le sens du passage.] ↑ [Couat : « Le hasard n’apporte rien qui ne soit la condition des desseins de la nature. » — Il ne saurait être ici question de « hasard ». (Cf. supra II, 3, dernière note, la définition stoïcienne de τύχη.) — Ἡ τυχοῦσα φύσις, « la première nature venue » — tel est le sens usuel de ό τυχών — se distingue de Ζεῦς ;”
source