“ Je le consolai de mon mieux. Les paroles, en de telles circonstances, sont inutiles. Une poignée de main, ou une main fortement appuyée sur l'épaule de l'ami dans l'affliction, ou encore un sanglot se mêlant aux siens, ce sont là des expressions de sympathie que le coeur reconnaît tout de suite. ”
Bram Stoker, Dracula (1897). copier la citation
Auteur | Bram Stoker |
---|---|
Œuvre | Dracula |
Thème | consolation parole gestes |
Date | 1897 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Ève et Lucie Paul-Margueritte |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Dracula |
Contexte
“Il éclata en sanglots, jeta les bras autour de mes épaules et, la tête sur ma poitrine : — Oh ! Jack, Jack ! que vais-je devenir ? Il me semble que j'ai tout perdu, que je n'ai plus au monde aucune raison de vivre.
Je le consolai de mon mieux. Les paroles, en de telles circonstances, sont inutiles. Une poignée de main, ou une main fortement appuyée sur l'épaule de l'ami dans l'affliction, ou encore un sanglot se mêlant aux siens, ce sont là des expressions de sympathie que le coeur reconnaît tout de suite. J'attendis que ses sanglots se fussent apaisés, puis je lui dis tout bas et doucement :
— Allons, venez la regarder ! Nous nous approchâmes du lit et soulevâmes légèrement le drap du visage.” source
Je le consolai de mon mieux. Les paroles, en de telles circonstances, sont inutiles. Une poignée de main, ou une main fortement appuyée sur l'épaule de l'ami dans l'affliction, ou encore un sanglot se mêlant aux siens, ce sont là des expressions de sympathie que le coeur reconnaît tout de suite. J'attendis que ses sanglots se fussent apaisés, puis je lui dis tout bas et doucement :
— Allons, venez la regarder ! Nous nous approchâmes du lit et soulevâmes légèrement le drap du visage.” source