Il faut être semblable au promontoire contre lequel se brisent sans cesse les flots : il tient bon, et autour de lui s'apaise le gonflement de la mer.
 Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation

modifier
Auteur Marc Aurèle
Œuvre Pensées pour moi-même
Thème calme fermeté
Date vers 170-180
Langue Français
Référence
Note Traduit par Auguste Couat
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/...

Contexte

“Passons donc conformément à la nature ce temps imperceptible de notre vie, et détachons-nous d'elle avec sérénité, comme une olive mûre, qui tomberait en louant la terre qui l'a nourrie, et en remerciant l'arbre son père.
49 Il faut être semblable au promontoire contre lequel se brisent sans cesse les flots : il tient bon, et autour de lui s'apaise le gonflement de la mer[81].
Je suis malheureux parce que telle chose m'est arrivée. — Ne dis pas cela, dis : je suis heureux parce que, telle chose m'étant arrivée, je n'en ressens aucun chagrin[82] ; je ne suis ni blessé par le présent ni effrayé par l'avenir.” source

Explications et analyses

écrire une note
signaler