Tristesse et joie sont dans l’âme séparée comme des états de l’affectivité, non pas sensible, mais spirituelle.
 Thomas d'Aquin, Somme théologique (1274). copier la citation

Contexte

“On dit que ces puissances ne perdent pas leur force lorsque le corps se débilite, parce que l’âme, leur principe d’activité, est immuable.
4. Cette manière de se souvenir doit s’entendre de la mémoire, pour autant que S. Augustin attribue cette faculté à l’esprit, et non selon qu’elle est une puissance de l’âme sensitive.
5. Tristesse et joie sont dans l’âme séparée comme des états de l’affectivité, non pas sensible, mais spirituelle. Elles se trouvent aussi chez les anges.
6. Il s’agit ici d’une recherche et non d’une affirmation de S. Augustin. Il a d’ailleurs retouché certains de ces passages.
Étudions maintenant les puissances de l’âme dans le détail.” source