La joie de l’homme est de faire ce qui appartient à l’homme. Il appartient à l’homme d’être bon pour ses semblables, de mépriser les mouvements [59] des sens, de discerner parmi les vraisemblances [60] , de contempler la nature universelle et ce qui arrive suivant ses lois.
 Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation

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Auteur Marc Aurèle
Œuvre Pensées pour moi-même
Thème nature joie
Date vers 170-180
Langue Français
Référence
Note Traduit par Auguste Couat
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/...

Contexte

“d’autres sont même déjà sortis de la légende. Rappelle-toi donc cette alternative : ou bien [58] le composé dont tu es fait devra se disperser ; [ou bien] ton souffle devra s’éteindre, ou prendre la place nouvelle qui lui aura été marquée.
26 La joie de l’homme est de faire ce qui appartient à l’homme. Il appartient à l’homme d’être bon pour ses semblables, de mépriser les mouvements [59] des sens, de discerner parmi les vraisemblances [60] , de contempler la nature universelle et ce qui arrive suivant ses lois. 27 Trois relations [61] : l’une avec le vase corporel qui nous entoure [62] , l’autre avec la cause divine d’où vient tout ce qui arrive à tous, la troisième avec ceux qui vivent en même temps que nous.
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