“ toute chose provient d’une autre ; le monde, en effet, ne peut qu’être composé d’atomes ou former un tout indivisible. ”
Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation
Auteur | Marc Aurèle |
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Œuvre | Pensées pour moi-même |
Thème | atomes |
Date | vers 170-180 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Auguste Couat |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/... |
Contexte
“— Cf. supra VI, 32, note 1.] ↑ [Ici, Marc-Aurèle affirme avec assurance une doctrine dont il a parfois douté, et qu’il a même contestée (cf. supra V, 13, note finale, complétée aux Addenda) .] ↑ [Couat : « toute chose provient d’une autre ; le monde, en effet, ne peut qu’être composé d’atomes ou former un tout indivisible. » — Le texte grec : καὶ τὶ ἐν τινί est inextricable ; Pierron déclare le passage désespéré. Le dernier, à ma connaissance, qui s’y soit attaqué est M. Rendall (Journal of Philology, XXIII, p. 150)”
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