“ Il ne faut pas nous devenir trop savante pour une femme, vous savez. ”
George Eliot, Middlemarch (1872). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Middlemarch |
Thème | femmes |
Date | 1872 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Middlemarch |
Contexte
“L’entrée de Dorothée fut comme la fraîcheur de cette matinée.
– Eh quoi, ma chère ? voilà qui est charmant, dit son oncle allant au-devant d’elle et l’embrassant. Vous avez laissé Casaubon dans ses livres, j’imagine. C’est fort bien. Il ne faut pas nous devenir trop savante pour une femme, vous savez. – Ce n’est pas à craindre, mon oncle, dit Dorothée se tournant vers Will et lui donnant une poignée de main avec une franche bonne humeur. Je suis très lente. Quand je veux m’occuper sérieusement à lire, je fais souvent l’école buissonnière au milieu de mes pensées.” source
– Eh quoi, ma chère ? voilà qui est charmant, dit son oncle allant au-devant d’elle et l’embrassant. Vous avez laissé Casaubon dans ses livres, j’imagine. C’est fort bien. Il ne faut pas nous devenir trop savante pour une femme, vous savez. – Ce n’est pas à craindre, mon oncle, dit Dorothée se tournant vers Will et lui donnant une poignée de main avec une franche bonne humeur. Je suis très lente. Quand je veux m’occuper sérieusement à lire, je fais souvent l’école buissonnière au milieu de mes pensées.” source