“ Mais je m’affligerais que le bonheur de quelqu’un pût dépendre de lui, et c’est aussi le sentiment de votre mère. ”
George Eliot, Middlemarch (1872). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Middlemarch |
Thème | bonheur mères |
Date | 1872 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Middlemarch |
Contexte
“– Ah ! il est venu exprès?
– Oui, je le crois. Il était très affligé.
– J’ai peur qu’on ne puisse avoir confiance en Fred, Mary, dit son père avec une hésitante tendresse. Ses intentions valent peut-être mieux que ses actes. Mais je m’affligerais que le bonheur de quelqu’un pût dépendre de lui, et c’est aussi le sentiment de votre mère. – Et c’est aussi le mien, père, dit Mary sans lever les yeux mais en pressant contre sa joue le revers de la main de son père.
– Je ne veux pas vous faire subir un interrogatoire, ma chérie, mais j’avais peur qu’il n’y eût quelque chose entre vous et Fred, je trouvais prudent de vous avertir, vous savez, Mary ?” source
– Oui, je le crois. Il était très affligé.
– J’ai peur qu’on ne puisse avoir confiance en Fred, Mary, dit son père avec une hésitante tendresse. Ses intentions valent peut-être mieux que ses actes. Mais je m’affligerais que le bonheur de quelqu’un pût dépendre de lui, et c’est aussi le sentiment de votre mère. – Et c’est aussi le mien, père, dit Mary sans lever les yeux mais en pressant contre sa joue le revers de la main de son père.
– Je ne veux pas vous faire subir un interrogatoire, ma chérie, mais j’avais peur qu’il n’y eût quelque chose entre vous et Fred, je trouvais prudent de vous avertir, vous savez, Mary ?” source