créatures excellentes qui, sous l’influence de l’admiration et de l’amour le plus pur, se font les esclaves volontaires de la jeunesse qu’elles ont perdue, de la beauté qu’elles n’eurent jamais, des talents qu’elles n’ont pu acquérir, et qui saluent pour les autres les brillantes espérances dont leur vie froide et sombre fut toujours déshéritée.
 Charles Dickens, Le Conte de deux cités (1859). copier la citation

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Auteur Charles Dickens
Œuvre Le Conte de deux cités
Thème jeunesse admiration
Date 1859
Langue Français
Référence
Note Traduit par Mme Loreau
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