La première source de produit brut dont le prix s’élève dans les progrès que fait l’opulence nationale, c’est celle sur la multiplication de laquelle l’industrie humaine n’a presque aucune espèce de pouvoir ; elle consiste dans ces choses que la nature ne donne qu’en certaines quantités, et qui, étant très-périssables, ne peuvent s’accumuler pendant plusieurs saisons de suite.
 Adam Smith, La Richesse des nations (1776). copier la citation

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Auteur Adam Smith
Œuvre La Richesse des nations
Thème progrès industrie
Date 1776
Langue Français
Référence Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations
Note Traduit par Germain Garnier et Adolphe Blanqui
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Recherches_sur_la_nature_et_les_causes_de...

Contexte

“Celui de la troisième classe, quoiqu’il ait une tendance naturelle à s’élever dans l’avancement progressif du pays vers l’opulence, cependant le degré d’avancement du pays étant le même, ce prix peut venir quelquefois à baisser, quelquefois demeurer fixe, et quelque fois hausser plus ou moins ; le tout selon que les efforts de l’industrie humaine réussiront plus ou moins, d’après les diverses circonstances, à multiplier cette sorte de produit brut. première classe. La première source de produit brut dont le prix s’élève dans les progrès que fait l’opulence nationale, c’est celle sur la multiplication de laquelle l’industrie humaine n’a presque aucune espèce de pouvoir ; elle consiste dans ces choses que la nature ne donne qu’en certaines quantités, et qui, étant très-périssables, ne peuvent s’accumuler pendant plusieurs saisons de suite. Telles sont la plupart des poissons et oiseaux rares et singuliers ; plusieurs différentes espèces de gibier ; presque tous les oiseaux sauvages, particulièrement ceux de passage, ainsi que beaucoup d’autres choses.” source