“ vous pensez bien qu’un homme ne peut pas le permettre quand il n’a qu’une mère — même quand elle est aussi forte que celle-ci ”
George Eliot, Daniel Deronda (1876). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Daniel Deronda |
Thème | mères |
Date | 1876 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Ernest David |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Daniel_Deronda |
Contexte
“J’ai eu bien du mal, je vous assure, pour l’empêcher d’être aplatie, quoiqu’elle fût à peu près aussi corpulente qu’aujourd’hui. J’aurais cent mères, monsieur, que je n’en conduirais plus une seule voir l’empereur et l’impératrice au palais de Cristal ; vous pensez bien qu’un homme ne peut pas le permettre quand il n’a qu’une mère — même quand elle est aussi forte que celle-ci ; — il frappa légèrement et affectueusement sur l’épaule de sa mère, qui s’épanouit de bonne humeur.
— Votre mère est veuve depuis longtemps peut-être ? dit Deronda, qui saisit l’occasion au vol ; cela a dû vous obliger à prendre soin d’elle plus que vous ne l’auriez fait autrement.”
source