“ vous tenez dans vos mains une fortune comme il en arrive bien rarement à une jeune personne de votre position, et qu’il est presque de votre devoir d’accepter. ”
George Eliot, Daniel Deronda (1876). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Daniel Deronda |
Thème | fortune |
Date | 1876 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Ernest David |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Daniel_Deronda |
Contexte
“mais il ne croyait pas que Gwendolen pût les connaître.
— Tout ce que je sais sur lui, c’est qu’il est un grand parti, et je vous assure que je n’en puis être affectée qu’agréablement.
— Alors, ma chère Gwendolen, je n’ai plus à vous dire que ceci : vous tenez dans vos mains une fortune comme il en arrive bien rarement à une jeune personne de votre position, et qu’il est presque de votre devoir d’accepter. Si la Providence vous offre rang et richesse, sans condition répugnante pour vous, vous encourez une responsabilité dans laquelle il ne faut pas faire entrer le caprice. Ne plaisantez pas avec les sentiments d’un homme, et dites-vous que, si M.”
source