“ Il y a moins à détester en lui qu’en la plupart des autres hommes. ”
George Eliot, Daniel Deronda (1876). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Daniel Deronda |
Thème | |
Date | 1876 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Ernest David |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Daniel_Deronda |
Contexte
“Madame Davilow posa cette question en tremblant ; mais, ne recevant point de réponse, elle continua :
— L’aurais-tu découragé?
— Je ne pense pas.
— Je croyais que tu l’aimais, ma chérie.
— Je l’aime aussi, maman, comme on peut aimer. Il y a moins à détester en lui qu’en la plupart des autres hommes. Il est froid et distingué.
Tout ceci avait été dit d’un ton grave et sérieux ; mais soudain sa malice lui revint, elle sourit et ajouta :
— En effet, il a toutes les qualités qui peuvent rendre un homme tolérable : créneaux, véranda, écuries, etc.;” source
— L’aurais-tu découragé?
— Je ne pense pas.
— Je croyais que tu l’aimais, ma chérie.
— Je l’aime aussi, maman, comme on peut aimer. Il y a moins à détester en lui qu’en la plupart des autres hommes. Il est froid et distingué.
Tout ceci avait été dit d’un ton grave et sérieux ; mais soudain sa malice lui revint, elle sourit et ajouta :
— En effet, il a toutes les qualités qui peuvent rendre un homme tolérable : créneaux, véranda, écuries, etc.;” source