Citations de La Cloche de détresse

Sylvia Plath

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“J'ai respiré un grand coup et j'ai écouté le vieux battement de mon cœur. Je vis, je vis, je vis.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Il n'y a rien de tel que de dégueuler ensemble pour faire de vieilles amies.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Je me voyais assise sur la fourche d'un figuier, mourant de faim, simplement parce que je ne parvenais pas à choisir quelle figue j'allais manger. Je les voulais toutes, seulement en choisir une signifiait perdre toutes les autres, et assise...” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Le silence me déprimait. Ce n'était pas le silence du silence. C'était mon propre silence.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Si vous l'aimez… un jour… vous aimerez sans doute quelqu'un d'autre.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Je sentais mes poumons se remplir avec les composants de la scène : air, montagnes, arbres, gens… J'ai pensé : 'C'est ça le bonheur.'” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Si c'est être névrosée que de vouloir au même moment deux choses qui s'excluent mutuellement, alors je suis névrosée jusqu'à l'os.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Il y a quelque chose de déprimant à regarder deux personnes devenir de plus en plus enragées l'une de l'autre, surtout si on se sent la seule personne en trop dans la pièce.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“L'homme est une flèche vers le futur et la femme est l'endroit d'où part cette flèche.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse
“Un homme ne s'en fait pas le moins du monde, alors que moi, pour rester dans le droit chemin, j'ai un bébé suspendu au-dessus de la tête, comme une épée de Damoclès.” Sylvia Plath, La Cloche de détresse

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