“ Aucun mal n'est irréparable, sauf le mal que nous aimons, dont nous désirons la continuation et auquel nous ne demandons pas d'échapper. ”
George Eliot, Daniel Deronda (1876). copier la citation
| Auteur | George Eliot |
|---|---|
| Œuvre | Daniel Deronda |
| Thème | mal désir |
| Date | 1876 |
| Langue | Français |
| Référence | |
| Note | Traduit par Ernest David |
| Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Daniel_Deronda |
Contexte
“Deronda avait le cœur déchiré. Il tourna les yeux vers le pauvre visage qui l'implorait, et dit :
— Je crois que vous pouvez devenir meilleure que vous n'avez jamais été… digne de mener une vie qui sera une bénédiction. Aucun mal n'est irréparable, sauf le mal que nous aimons, dont nous désirons la continuation et auquel nous ne demandons pas d'échapper. Vous avez fait des efforts… Eh bien, vous continuerez d'en faire.
— Mais c'est vous qui en avez été le promoteur. Il ne faut pas que vous m'abandonniez, dit-elle en appuyant ses deux mains crispées sur les bras du fauteuil de Daniel et en le suppliant du regard.” source
— Je crois que vous pouvez devenir meilleure que vous n'avez jamais été… digne de mener une vie qui sera une bénédiction. Aucun mal n'est irréparable, sauf le mal que nous aimons, dont nous désirons la continuation et auquel nous ne demandons pas d'échapper. Vous avez fait des efforts… Eh bien, vous continuerez d'en faire.
— Mais c'est vous qui en avez été le promoteur. Il ne faut pas que vous m'abandonniez, dit-elle en appuyant ses deux mains crispées sur les bras du fauteuil de Daniel et en le suppliant du regard.” source
Citation originale
Explications et analyses
