La conscience n'est qu'un mot à l'usage des lâches, inventé tout d'abord pour tenir les forts en respect.
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Auteur William Shakespeare
Œuvre Richard III
Thème conscience lâcheté
Date 1597
Langue Français
Référence
Note Traduit par François-Victor Hugo Écrit entre 1591 et 1592
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Richard_III/Traduction_Hugo

Contexte

“— «Jockey de Norfolk (67), ne sois pas trop hardi, — car Dikon ton maître est vendu et trahi.» — Pure invention de l'ennemi. — Allez, messieurs ! chaque homme à son poste ! — Que le bégaiement de nos songes n'effraie pas nos âmes ! — La conscience n'est qu'un mot à l'usage des lâches, — inventé tout d'abord pour tenir les forts en respect. — Ayons nos bras forts pour conscience, nos épées pour loi. — En marche ! alignons-nous bravement ! à la mêlée ! — Sinon pour le ciel, emboîtons le pas pour l'enfer ! — Qu'ajouterai-je à ce que j'ai dit ?” source
Citation originale

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