Il n'est pas facile de représenter la joie que je ressentis de l'espérance que j'eus de revoir encore une fois mon aimable pays et les chers gages que j'y avais laissés.
 Jonathan Swift, Les Voyages de Gulliver (1726). copier la citation

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Auteur Jonathan Swift
Œuvre Les Voyages de Gulliver
Thème voyage foyer
Date 1726
Langue Français
Référence
Note Traduit par Pierre-François Guyot Desfontaines
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Voyages_de_Gulliver/Texte_entier

Contexte

“Je ne découvris rien ce jour-là ; mais le lendemain, sur les trois heures après midi, quand j'eus fait, selon mon calcul, environ vingt-quatre lieues, je découvris un navire faisant route vers le sud-est. Je mis toutes mes voiles ; et, au bout d'une demi-heure, le navire m'ayant aperçu, arbora son pavillon et tira un coup de canon. Il n'est pas facile de représenter la joie que je ressentis de l'espérance que j'eus de revoir encore une fois mon aimable pays et les chers gages que j'y avais laissés. Le navire relâcha ses voiles, et je le joignis à cinq ou six heures du soir, le 26 septembre. J'étais transporté de joie de voir le pavillon d'Angleterre. Je mis mes vaches et mes moutons dans les poches de mon juste-au-corps, et me rendis à bord avec toute ma petite cargaison de vivres.” source
Citation originale

Explications et analyses

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