“ Ça me semble assez plausible ce soir . . . mais attendons jusqu'à demain, attendons le bon sens matinal. ”
H. G. Wells, La Machine à explorer le temps (1895). copier la citation
Auteur | H. G. Wells |
---|---|
Œuvre | La Machine à explorer le temps |
Thème | matin bon sens |
Date | 1895 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Henry D. Davray |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/La_Machine_%C3%A0_explorer_le_temps |
Contexte
“Il passa sa main à la place où la machine avait été.
— Comprenez-vous ? dit-il en riant.
Nous restâmes assis, les yeux fixés sur la table vide, jusqu'à ce que notre ami nous eût demandé ce que nous pensions de tout cela.
— Ça me semble assez plausible ce soir, dit le Docteur ; mais attendons jusqu'à demain, attendons le bon sens matinal.
— Voulez-vous voir la machine elle-même ? demanda notre ami.
Il prit en même temps une lampe, et nous entraîna au long du corridor qui menait à son laboratoire. Je me rappelle très vivement la lumière tremblotante, la silhouette de sa grosse tête étrange, la danse des ombres, notre défilé à sa suite, tous ahuris mais incrédules ; et comment aussi nous aperçûmes dans le laboratoire une machine beaucoup plus grande que le petit mécanisme que nous avions vu disparaître sous nos yeux.” source
— Comprenez-vous ? dit-il en riant.
Nous restâmes assis, les yeux fixés sur la table vide, jusqu'à ce que notre ami nous eût demandé ce que nous pensions de tout cela.
— Ça me semble assez plausible ce soir, dit le Docteur ; mais attendons jusqu'à demain, attendons le bon sens matinal.
— Voulez-vous voir la machine elle-même ? demanda notre ami.
Il prit en même temps une lampe, et nous entraîna au long du corridor qui menait à son laboratoire. Je me rappelle très vivement la lumière tremblotante, la silhouette de sa grosse tête étrange, la danse des ombres, notre défilé à sa suite, tous ahuris mais incrédules ; et comment aussi nous aperçûmes dans le laboratoire une machine beaucoup plus grande que le petit mécanisme que nous avions vu disparaître sous nos yeux.” source
Citation originale