Ton ardeur s'éteindra et tu reviendras guéri.
 Fiodor Dostoïevski, Les Frères Karamazov (1880). copier la citation

Contexte

“Ce sera plus convenable pour toi d'être chez les moines que chez moi, vieil ivrogne, avec des filles… bien que tu sois, comme un ange, au-dessus de tout cela. Il en sera peut-être de même là-bas, et si je te laisse aller, c'est que je compte là-dessus. Tu n'es pas sot. Ton ardeur s'éteindra et tu reviendras guéri. Pour moi, je t'attendrai, car je sens que tu es le seul en ce monde qui ne me blâme point, mon cher garçon ; je ne peux pas ne pas le sentir !…»
Et il se mit à pleurnicher. Il était sentimental.” source

Explications et analyses

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