La chair doit à l'âme d'appartenir à la nature humaine, même après que l'âme en a été séparée
 Thomas d'Aquin, Somme théologique (1274). copier la citation

Contexte

“Le Verbe de Dieu s'est uni à la chair par l'intermédiaire de l'âme, en ce sens que la chair appartient par l'âme à la nature humaine, que le Fils de Dieu voulait assumer ; mais non en ce sens que l'âme serait l'intermédiaire qui relie entre elles la divinité et la chair. La chair doit à l'âme d'appartenir à la nature humaine, même après que l'âme en a été séparée ; car le cadavre conserve, en vertu du plan divin, un ordre à la résurrection. Aussi l'union de la divinité à la chair n'a-t-elle pas été détruite. 3. L'âme du Christ possède la vertu de vivifier le corps à titre de principe formel ;” source