Suite : la vertu du citoyen ne se confond pas tout à fait avec celle de l’homme privé ; le citoyen a toujours rapport à l’État. La vertu de l’individu est absolue et sans rapports extérieurs qui la limitent.
 Aristote, Politique (IVe siècle av. J.-C.). copier la citation

ajouter
Auteur Aristote
Œuvre Politique
Thème vertu absolu
Date IVe siècle av. J.-C.
Langue Français
Référence
Note Traduit par Jules Barthélemy-Saint-Hilaire
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/La_Politique/Traduction_Barth%C3%A9lemy-S...

Contexte

“ou qu’il garde sa première dénomination, malgré le changement radical des individus.
§ 15. C’est d’ailleurs une autre question de savoir s’il convient, après une révolution, de remplir les engagements contractés ou de les rompre.
CHAPITRE II Suite : la vertu du citoyen ne se confond pas tout à fait avec celle de l’homme privé ; le citoyen a toujours rapport à l’État. La vertu de l’individu est absolue et sans rapports extérieurs qui la limitent. Ces deux vertus ne se confondent même pas dans la république parfaite ; elles ne sont réunies que dans le magistrat digne du commandement ; qualités fort diverses qu’exigent le commandement et l’obéissance, bien que le bon citoyen doive savoir également obéir et commander :” source