Ne reconnais-tu pas qu’une fois l’homme mort, ce qui subsiste, c’est justement ce qu’il y a de plus fragile ?
 Platon, Phédon. copier la citation

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Auteur Platon
Œuvre Phédon
Thème mort
Date
Langue Français
Référence
Note Traduit par Léon Robin
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Ph%C3%A9don_(trad._Robin)

Contexte

“et cela, je ne le concède pas à l’objection de Simmias, car c’est mon opinion qu’à tous ces points de vue la supériorité de l’âme est immense. « Pourquoi, dans ces conditions (je suppose que c’est l’argument qui parle) , être encore incrédule ? Ne reconnais-tu pas qu’une fois l’homme mort, ce qui subsiste, c’est justement ce qu’il y a de plus fragile ? Et, pour ce qui est au contraire plus b durable, tu ne juges pas nécessaire qu’il continue de se conserver pendant ce temps ! » Or voici d’après quoi tu dois examiner si mon langage a du sens ; car moi aussi, naturellement, j’ai comme Simmias besoin d’une image :” source