Efface les idées qui se présentent à toi, en te disant sans cesse : il dépend de moi que mon âme n’ait ni méchanceté, ni désir, ni rien qui la trouble.
 Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation

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Auteur Marc Aurèle
Œuvre Pensées pour moi-même
Thème désir méchanceté
Date vers 170-180
Langue Français
Référence
Note Traduit par Auguste Couat
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/...

Contexte

“Mais l’âme a le pouvoir de conserver sa sérénité et son calme en ne jugeant pas que la douleur est un mal. En effet, tout jugement, toute tendance, tout désir, toute aversion est en nous ; ainsi il ne peut venir du dehors jusqu’à nous aucun mal [64].
29 Efface les idées qui se présentent à toi, en te disant sans cesse : il dépend de moi que mon âme n’ait ni méchanceté, ni désir, ni rien qui la trouble. Je n’ai qu’à considérer toute chose en elle-même, et à faire de chacune le cas qu’elle mérite. Rappelle-toi que la nature t’a donné ce pouvoir.
30 Si tu adresses la parole au Sénat ou à qui que ce soit, fais-le avec modestie et netteté [65] , parle un langage sain.
source