Il n’y a qu’un petit enfant qui puisse craindre un acte de la nature, et la mort est non seulement un de ces actes, mais encore c’est un acte qui lui est utile.
 Marc Aurèle, Pensées pour moi-même (vers 170-180). copier la citation

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Auteur Marc Aurèle
Œuvre Pensées pour moi-même
Thème mort nature
Date vers 170-180
Langue Français
Référence
Note Traduit par Auguste Couat
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_de_Marc-Aur%C3%A8le_(Couat)/...

Contexte

“la renommée ? Qu’est-ce que la mort ? Si on la considère [seule,] en elle-même, si l’analyse de la réflexion dissipe tous les fantômes que nous apercevons en elle [27] , on n’y verra rien qu’un acte de la nature. Il n’y a qu’un petit enfant qui puisse craindre un acte de la nature, et la mort est non seulement un de ces actes, mais encore c’est un acte qui lui est utile. Comment [28] l’homme touche-t-il à la divinité, par quelle partie de lui-même, et dans quelles dispositions [29] faut-il que soit [à ce moment] cette partie de l’homme ? 13 Il n’y a rien de plus malheureux que celui qui promène sa pensée sur tout ce qui l’entoure, qui fouille, comme dit le poète” source