“ J’ai le tort de parler trop vivement des gens qui ne me plaisent pas. ”
George Eliot, Middlemarch (1872). copier la citation
Auteur | George Eliot |
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Œuvre | Middlemarch |
Thème | |
Date | 1872 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Middlemarch |
Contexte
“Il y avait quelque chose de funèbre dans toute l’affaire, et M. Casaubon lui faisait l’effet du ministre officiant sur lequel il serait indécent de faire des remarques.
– Cela ne fait rien, Kitty, ne t’afflige pas. Jamais, vois-tu, nous n’admirerons les mêmes personnes ; moi aussi, j’ai souvent offensé les autres de la même manière. J’ai le tort de parler trop vivement des gens qui ne me plaisent pas. En dépit du sentiment magnanime qu’elle venait d’exprimer, Dorothée ressentait encore une douleur cachée ; peut-être l’étonnement soumis de Célia y contribuait-il autant que ses légères railleries de tout à l’heure.” source
– Cela ne fait rien, Kitty, ne t’afflige pas. Jamais, vois-tu, nous n’admirerons les mêmes personnes ; moi aussi, j’ai souvent offensé les autres de la même manière. J’ai le tort de parler trop vivement des gens qui ne me plaisent pas. En dépit du sentiment magnanime qu’elle venait d’exprimer, Dorothée ressentait encore une douleur cachée ; peut-être l’étonnement soumis de Célia y contribuait-il autant que ses légères railleries de tout à l’heure.” source