Certaines femmes ne peuvent être ni mères ni amantes, elles sont ou trop laides ou trop sottes.
 Honoré de Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées (1841). copier la citation

Contexte

“Tiens, à Marseille, à quelques pas de vous, je suis déjà fière de toi, fière de cette grande mère de famille que tu seras. Avec quel sens tu devinais ta vocation ! car tu me sembles née pour être plus mère qu’amante, comme moi je suis plus née pour l’amour que pour la maternité. Certaines femmes ne peuvent être ni mères ni amantes, elles sont ou trop laides ou trop sottes. Une bonne mère et une épouse-maîtresse doivent avoir à tout moment de l’esprit, du jugement, et savoir à tout propos déployer les qualités les plus exquises de la femme. Oh ! je t’ai bien observée, n’est-ce pas te dire, ma minette, que je t’ai admirée ?” source