Ce qu’il y a de certain, c’est qu’une femme d’un si pauvre esprit ne méritait pas une grande somme de plaisir.
 William Makepeace Thackeray, Mémoires de Barry Lyndon (1844). copier la citation

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Auteur William Makepeace Thackeray
Œuvre Mémoires de Barry Lyndon
Thème plaisir femmes
Date 1844
Langue Français
Référence
Note Traduit par Léon de Wailly
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/M%C3%A9moires_de_Barry_Lyndon_(Thackeray,...

Contexte

“Quand le duc Victor monta sur le trône, ce qu’il fit lorsque, six mois après, une apoplexie emporta le vieux souverain son père, tous les bons vieux usages de X... furent abandonnés, le jeu défendu ; on fit faire à l’opéra et au ballet mi-tour à droite, et les régiments que le vieux duc avait vendus furent rappelés du service étranger ; avec eux arriva le famélique cousin de ma comtesse, l’enseigne, et il l’épousa. Je ne sais s’ils furent heu reux ou non. Ce qu’il y a de certain, c’est qu’une femme d’un si pauvre esprit ne méritait pas une grande somme de plaisir. Le duc régnant de X... se maria lui-même quatre ans après la mort de sa femme, et Geldern, quoiqu’il ne fût plus ministre de la police, bâtit la grande maison dont Mme
de Liliengarten a parlé. Que devinrent les acteurs secondaires de cette grande tragédie ?” source