“ Il y a des séries idéales d’événements qui courent parallèlement avec les réelles. Les hommes et les circonstances, en général, modifient le train idéal des événements, en sorte qu’il semble imparfait ; et leurs conséquences aussi sont également imparfaites. ”
Edgar Allan Poe, Le Mystère de Marie Roget (1842). copier la citation
Auteur | Edgar Allan Poe |
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Œuvre | Le Mystère de Marie Roget |
Thème | conséquences circonstances |
Date | 1842 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Charles Baudelaire |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Histoires_extraordinaires/Le_Myst%C3%A8re... |
Contexte
“1869 Paris T Le Mystère de Marie Roget Poe - Histoires extraordinaires (1869) .djvu Poe - Histoires extraordinaires (1869) .djvu/9 441-523 LE MYSTÈRE DE MARIE ROGET[1] POUR FAIRE SUITE AU DOUBLE ASSASSINAT DANS LA RUE MORGUE
Il y a des séries idéales d’événements qui courent parallèlement avec les réelles. Les hommes et les circonstances, en général, modifient le train idéal des événements, en sorte qu’il semble imparfait ; et leurs conséquences aussi sont également imparfaites. C’est ainsi qu’il en fut de la Réformation ; au lieu du protestantisme est arrivé le luthérianisme. Novalis.
Il y a peu de personnes, même parmi les penseurs les plus calmes, qui n’aient été quelquefois envahies par une vague mais saisissante demi-croyance au surnaturel, en face de certaines coïncidences d’un caractère en apparence si merveilleux, que l’esprit se sentait incapable de les admettre comme pures coïncidences.” source
Il y a des séries idéales d’événements qui courent parallèlement avec les réelles. Les hommes et les circonstances, en général, modifient le train idéal des événements, en sorte qu’il semble imparfait ; et leurs conséquences aussi sont également imparfaites. C’est ainsi qu’il en fut de la Réformation ; au lieu du protestantisme est arrivé le luthérianisme. Novalis.
Il y a peu de personnes, même parmi les penseurs les plus calmes, qui n’aient été quelquefois envahies par une vague mais saisissante demi-croyance au surnaturel, en face de certaines coïncidences d’un caractère en apparence si merveilleux, que l’esprit se sentait incapable de les admettre comme pures coïncidences.” source