Un seul est tellement ébranlé par la perspective du supplice, qu’ayant perdu la raison, il chante, et essaye de danser ; mais il n’y en a pas un qui, par son regard ou par ses gestes, fasse appel à la pitié du peuple.
 Charles Dickens, Le Conte de deux cités (1859). copier la citation

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Auteur Charles Dickens
Œuvre Le Conte de deux cités
Thème pitié regard
Date 1859
Langue Français
Référence
Note Traduit par Mme Loreau
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