“ Les blessures morales ont cela de particulier qu’elles se cachent, mais ne se referment pas ; toujours douloureuses, toujours prêtes à saigner quand on les touche, elles restent vives et béantes dans le cœur. ”
Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo (1845). copier la citation
| Auteur | Alexandre Dumas |
|---|---|
| Œuvre | Le Comte de Monte-Cristo |
| Thème | blessure cœur |
| Date | 1845 |
| Langue | Français |
| Référence | |
| Note | |
| Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Comte_de_Monte-Cristo/Texte_entier |
Contexte
“Aux premiers mots de Janina et du colonel Fernand, le comte de Morcerf pâlit si horriblement, qu’il n’y eut qu’un frémissement dans cette assemblée, dont tous les regards convergeaient vers le comte.
Les blessures morales ont cela de particulier qu’elles se cachent, mais ne se referment pas ; toujours douloureuses, toujours prêtes à saigner quand on les touche, elles restent vives et béantes dans le cœur.
de Morcerf, c’était celui de toute la Chambre qu’il prétendait défendre en provoquant un débat qui devait s’attaquer à ces questions personnelles toujours si brûlantes. de Morcerf, en le vengeant, dans la position que l’opinion publique lui avait faite depuis longtemps..” source
Les blessures morales ont cela de particulier qu’elles se cachent, mais ne se referment pas ; toujours douloureuses, toujours prêtes à saigner quand on les touche, elles restent vives et béantes dans le cœur.
de Morcerf, c’était celui de toute la Chambre qu’il prétendait défendre en provoquant un débat qui devait s’attaquer à ces questions personnelles toujours si brûlantes. de Morcerf, en le vengeant, dans la position que l’opinion publique lui avait faite depuis longtemps..” source
