“ Ainsi, selon les apparences, nos athlètes se battront sans peine contre des riches deux ou trois fois plus nombreux. ”
Platon, La République. copier la citation
Auteur | Platon |
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Œuvre | La République |
Thème | apparence |
Date | |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Victor Cousin |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/La_R%C3%A9publique_(trad._Cousin) |
Contexte
“s’il pouvait fuir, revenir ensuite pour frapper toujours celui qui le suivrait de plus près, et employer souvent cette ruse au soleil et sous le poids de la chaleur, lui serait-il difficile de réduire même plus de deux adversaires?
Vraiment, ce ne serait pas merveille.
Et crois-tu que les riches ne soient pas plus habiles et plus exercés à la lutte qu’à la guerre ?
Je le crois.
Ainsi, selon les apparences, nos athlètes se battront sans peine contre des riches deux ou trois fois plus nombreux. J’en conviendrai, car il me semble que tu as raison.
Et s’ils envoyaient une ambassade à un autre État voisin en disant, ce qui serait la vérité : L’or ni l’argent ne sont pas en usage chez nous ; il nous est même défendu d’en avoir.” source
Vraiment, ce ne serait pas merveille.
Et crois-tu que les riches ne soient pas plus habiles et plus exercés à la lutte qu’à la guerre ?
Je le crois.
Ainsi, selon les apparences, nos athlètes se battront sans peine contre des riches deux ou trois fois plus nombreux. J’en conviendrai, car il me semble que tu as raison.
Et s’ils envoyaient une ambassade à un autre État voisin en disant, ce qui serait la vérité : L’or ni l’argent ne sont pas en usage chez nous ; il nous est même défendu d’en avoir.” source