c’est que l’on méprise trop souvent ce qui ne paraît ni beau ni bon, et que, par là, on se prive de ce qui est secourable et salutaire.
 George Sand, La Petite Fadette (1849). copier la citation

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Auteur George Sand
Œuvre La Petite Fadette
Thème
Date 1849
Langue Français
Référence
Note
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/La_Petite_Fadette/Texte_entier

Contexte

“et quand je sais leur usage, je les regarde et ne méprise ni leur odeur ni leur figure. Je te dis cela, Landry, pour t’enseigner tout à l’heure une autre chose qui se rapporte aux âmes chrétiennes aussi bien qu’aux fleurs des jardins et aux ronces des carrières ; c’est que l’on méprise trop souvent ce qui ne paraît ni beau ni bon, et que, par là, on se prive de ce qui est secourable et salutaire. — Je n’entends pas bien ce que tu veux signifier, dit Landry en s’asseyant auprès d’elle. Et ils restèrent un moment sans parler, car la petite Fadette avait l’esprit envolé à des idées que Landry ne connaissait point ;” source