“ Quand j’ai peur, il est bon pour moi que quelqu’un me reproche de n’être pas brave ; cela me réchauffe le sang. ”
George Eliot, Daniel Deronda (1876). copier la citation
| Auteur | George Eliot |
|---|---|
| Œuvre | Daniel Deronda |
| Thème | reproches peur |
| Date | 1876 |
| Langue | Français |
| Référence | |
| Note | Traduit par Ernest David |
| Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Daniel_Deronda |
Contexte
“n’enflammez pas leur imagination en le comparant à Habakuc Mucklewrath [4] , dit Deronda en souriant, car madame Meyrick l’avait quelquefois traité de puritain.
— Fiez-vous à moi, dit la petite mère, je les persuaderai si bien, que je me convertirai moi-même. Quand j’ai peur, il est bon pour moi que quelqu’un me reproche de n’être pas brave ; cela me réchauffe le sang. Deronda aurait été plus disposé à argumenter et à être persuasif sur le compte du livre de Mirah, s’il n’avait pas été préoccupé de la tâche plus importante dont il tenait à s’acquitter sans blesser les Cohen.” source
— Fiez-vous à moi, dit la petite mère, je les persuaderai si bien, que je me convertirai moi-même. Quand j’ai peur, il est bon pour moi que quelqu’un me reproche de n’être pas brave ; cela me réchauffe le sang. Deronda aurait été plus disposé à argumenter et à être persuasif sur le compte du livre de Mirah, s’il n’avait pas été préoccupé de la tâche plus importante dont il tenait à s’acquitter sans blesser les Cohen.” source
