Citations de La Ferme des animaux

George Orwell

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“la guerre, c'est la guerre. L'homme n'est à prendre en considération que changé en cadavre.” George Orwell, La Ferme des animaux
“Quatrepattes, oui ! Deuxpattes, non !” George Orwell, La Ferme des animaux
“Regardons les choses en face nous avons une vie de labeur, une vie de misère, une vie trop brève.” George Orwell, La Ferme des animaux
“Tout Deuxpattes est un ennemi, tout Quatrepattes ou tout volatile est un ami.” George Orwell, La Ferme des animaux
“De l'égalité de tous les animaux, nul n'est plus fermement convaincu que le camarade Napoléon. Il ne serait que trop heureux de s'en remettre à vous de toutes décisions. Mais il pourrait vous arriver de prendre des décisions erronées, et...” George Orwell, La Ferme des animaux
“Il n'y avait plus maintenant à se faire de questions sur les traits altérés des cochons. Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l'homme et de l'homme au cochon, et de nouveau du cochon à l'homme ; mais déjà il était impossible...” George Orwell, La Ferme des animaux
“Plusieurs d'entre eux auraient protesté si des raisons probantes leur étaient venues à l'esprit.” George Orwell, La Ferme des animaux
“Tous les hommes sont des ennemis. Les animaux entre eux sont tous camarades.” George Orwell, La Ferme des animaux
“les choses n'avaient jamais été, ni ne pourraient jamais être bien meilleures ou bien pires — la faim, les épreuves et les déboires, telle était, à l'en croire, la loi inaltérable de la vie.” George Orwell, La Ferme des animaux
“Ce surcroît d'effort leur était demandé à titre tout à fait volontaire, étant bien entendu que tout animal qui se récuserait aurait ses rations réduites de moitié.” George Orwell, La Ferme des animaux

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