Citations de Fahrenheit 451

Ray Bradbury

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“On a tout ce qu'il faut pour être heureux, mais on ne l'est pas. il manque quelque chose.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“C'est le bon côté de la mort ; quand on n'a rien à perdre, on est prêt à courir tous les risques.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“ce monde . . . Un jour j'aurai une bonne prise sur lui. J'ai déjà un doigt dessus ; c'est un commencement.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Pour le moment, je n'ai pas peur. Peut-être parce que je me comporte enfin comme il se doit.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Heureux ! Elle est bien bonne, celle-là.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“il y avait des tas de jolis livres autrefois, avant que nous les laissions disparaître.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Mais c'est ce que l'homme a de merveilleux ; il ne se laisse jamais gagner par le découragement ou le dégoût au point de renoncer à se remettre au travail, car il sait très bien que c'est important et que ça en vaut vraiment la peine.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Les livres sont faits pour nous rappeler quels ânes, quels imbéciles nous sommes.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Si vous cachez votre ignorance, vous ne recevrez pas de coups et vous n'apprendrez rien.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“j'ai dix-sept ans et je suis folle. Mon oncle affirme que les deux vont toujours ensemble. Lorsqu'on te demande ton âge, m'a-t-il dit, réponds toujours que tu as dix-sept ans et que tu es folle.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Si vous ne voulez pas qu'un homme se rende malheureux avec la politique, n'allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue sur une question ; proposez-lui-en un seul. Mieux encore, ne lui en proposez aucun. Qu'il oublie jusqu'à...” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Personne n'a plus le moindre instant à consacrer aux autres.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Ceux qui ne construisent pas doivent brûler. C'est vieux comme le monde et la délinquance juvénile.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Et quand il est mort, je me suis aperçu que ce n'était pas lui que je pleurais, mais les choses qu'il faisait.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Remplis-toi les yeux de merveilles . . . Vis comme si tu devais mourir dans dix secondes. Regarde le monde. Il est plus extraordinaire que tous les rêves fabriqués ou achetés en usine.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Le milieu familial peut défaire beaucoup de ce qu'on essaie de faire à l'école.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Il m'arrive de passer toute une journée dans le métro à les regarder et à les écouter. J'ai simplement envie de comprendre qui ils sont, ce qu'ils veulent et où ils vont.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Il doit y avoir quelque chose dans les livres, des choses que nous ne pouvons pas imaginer, pour amener une femme à rester dans une maison en flammes ; oui, il doit y avoir quelque chose. On n'agit pas comme ça pour rien.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Je ne pense pas par moi-même. Je fais simplement ce qu'on me dicte, comme toujours.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Les étoiles pleuvaient dans ses yeux comme des météores en flammes.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Si l'on vous donne du papier réglé, écrivez de l'autre côté.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Je l'ai toujours dit, poésie égale larmes, poésie égale suicide, pleurs et gémissements, sentiments pénibles, poésie égale souffrance ; toute cette sentimentalité écœurante !” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Les bons écrivains touchent souvent la vie du doigt. Les médiocres ne font que l'effleurer. Les mauvais la violent et l'abandonnent aux mouches.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Les livres n'étaient qu'un des nombreux types de réceptacles destinés à conserver ce que nous avions peur d'oublier. Ils n'ont absolument rien de magique. Il n'y a de magie que dans ce qu'ils disent, dans la façon dont ils cousent les...” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Oh, Dieu, la terrible tyrannie de la majorité !” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Un livre est un fusil chargé dans la maison d'à côté. Brûlons-le. Déchargeons l'arme. Battons en brèche l'esprit humain. Qui sait qui pourrait être la cible de l'homme cultivé ?” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Personne n'écoute plus. Je ne peux pas parler aux murs parce qu'ils me hurlent après. Je ne peux pas parler à ma femme ; elle écoute les murs. Je veux simplement quelqu'un qui écoute ce que j'ai à dire. Et peut-être que si je parle assez...” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“on vit à l'époque du kleenex. On fait avec les gens comme avec les mouchoirs, on froisse après usage, on jette, on en prend un autre, on se mouche, on froisse, on jette.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Peu importe ce que tu fais . . . tant que tu changes une chose en une autre, différente de ce qu'elle était avant que tu la touches, une chose qui te ressemble une fois que tu en as fini avec elle.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“On ne peut dire à quel moment précis naît l'amitié. Si l'on remplit un récipient goutte à goutte, il finit par y en avoir une qui le fait déborder ; ainsi, lorsque se succèdent les gentillesses, il finit par y en avoir une qui fait...” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Il n'y a presque plus personne pour jouer les rebelles. Et parmi les rares qui restent, la plupart, comme moi, cèdent facilement à la peur.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“La vérité est la vérité, en fin de compte, avons-nous crié. Ceux qu'accompagnent de nobles pensées ne sont jamais seuls, avons-nous clamé à nos propres oreilles.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Il s'arrêta pour respirer, et plus il respirait la terre, plus il en intériorisait les moindres détails. Il n'était plus vide. Il y avait ici largement de quoi le remplir. Il y en aurait toujours plus que largement.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Ne demandez pas de garanties. Et n'attendez pas le salut d'une seule source, individu, machine ou bibliothèque. Contribuez à votre propre sauvetage, et si vous vous noyez, au moins mourez en sachant que vous vous dirigiez vers le rivage.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Elle ne voulait pas savoir le comment des choses, mais le pourquoi. Ce qui peut être gênant.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Les feuilles d'automne voletaient au ras du trottoir baigné de lune, donnant l'impression que la jeune fille qui s'y déplaçait, comme fixée sur un tapis roulant, se laissait emporter par le mouvement du vent et des feuilles.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Il délaissait une effrayante irréalité pour pénétrer dans une réalité qui n'était irréelle qu'en raison de sa nouveauté.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“S'il n'y avait pas de solution, eh bien, il n'y avait plus de problème non plus.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Notre civilisation est en train de voler en éclats. Tenez-vous à l'écart de la centrifugeuse.” Ray Bradbury, Fahrenheit 451
“Peut-être que les livres peuvent nous sortir un peu de cette caverne. Peut-être y a-t-il une chance qu'ils nous empêchent de commettre les mêmes erreurs insensées !” Ray Bradbury, Fahrenheit 451

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