Citations de Chroniques, Volume 1

Bob Dylan

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“A New York, on peut mourir de froid dans une rue passante sans que personne s'en aperçoive.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Ma plus grande peur était que ma guitare se désaccorde.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Qu'est-ce que je devais au reste du monde ? rien.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“La morale n'a rien à voir avec la politique.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“J'aurais voulu lire tous ces livres, mais pour ce faire, il aurait fallu qu'on m'envoie dans une maison de repos ou quelque chose comme ça.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“On apprend finalement que l'intimité peut se vendre, mais elle ne se rachète pas.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Les folksongs sont équivoques — elles détiennent une vérité, d'accord, mais la vie reste plus ou moins un mensonge. C'est d'ailleurs exactement comme ça qu'on l'aime.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“C'était quoi, l'avenir ? Un mur plein, sans promesse, sans menace non plus — du bla-bla. Sans aucune garantie, pas même celle que la vie n'est pas une vaste plaisanterie.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Si tu n'as pas tout ce que tu veux, réjouis-toi de ne pas avoir ce que tu ne veux pas.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Ces rêves et ces idées m'étaient étrangers, mais j'allais m'en emparer.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“James Joyce semblait le plus arrogant des hommes, il avait les deux yeux ouverts et de grandes facultés d'expression, mais je ne voyais pas ce qu'il voulait dire.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Le mythe dominant du moment était, semble-t-il, que n'importe qui pouvait faire n'importe quoi, même aller sur la Lune. Tout était possible — dans les pubs, les articles : ignorez vos limites, dépassez-les.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Je n'ai jamais vraiment été plus que ça : un musicien de folk qui scrutait la buée derrière un écran de larmes, dont les chansons flottaient dans une brume lumineuse.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“mon style avait trop de facettes pour se prêter à l'étiquetage, et les folksongs, pour moi, ce n'était pas du divertissement. Elles traduisaient des réalités différentes, elles me servaient de précepteur, de guide vers une république...” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Inutile d'essayer de leur résister ou de répondre par la force. Mieux vaut se mordre la lèvre, porter des lunettes noires.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“On ne vit qu'une journée à la fois, puis c'est le soir et demain, aujourd'hui.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“la valeur des choses ne dépend pas de leur coût, mais du prix payé pour les obtenir. Si on doit renoncer à sa foi ou à sa famille, alors c'est trop cher. Et certaines de ces choses ne s'usent jamais.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“On ne se réveille pas un beau matin en décidant : 'Il faut que j'écrive des chansons.' Surtout si on possède un répertoire qui grandit de jour en jour.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“je voulais bien discerner les choses, pour m'en libérer ensuite.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“à condition de bien comprendre, on pouvait peut-être tout condenser dans un seul paragraphe, un seul couplet.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Certaines personnes semblent s'évanouir peu à peu mais, quand elles disparaissent pour de bon, c'est comme si elles n'étaient jamais parties.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Je ne cherchais pas l'amour, je ne cherchais pas l'argent. La conscience aiguisée, j'étais déterminé, irréaliste, et visionnaire par-dessus le marché.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Je venais de très loin et j'avais commencé tout en bas. Mais le destin allait bientôt parler.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Le monde moderne, avec sa complexité folle, m'intéressait peu. Il manquait de pertinence et de poids.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Une chanson ressemble à un rêve qu'on essaie de réaliser. Ce sont des pays inconnus où il faut s'introduire.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“On peut en écrire n'importe où, dans le compartiment d'un train, sur un bateau, à cheval — le mouvement aide toujours. Des gens qui ont un merveilleux talent d'auteur-compositeur n'en écrivent jamais parce qu'ils restent immobiles.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Les choses grandissent la nuit, mon imagination ouvre ses portes, les idées préconçues s'évanouissent. On cherche parfois le paradis aux mauvais endroits. Alors qu'on l'a à ses pieds. Ou dans son lit.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“Dostoïevski . . . a écrit pour se débarrasser de ses créanciers. Exactement comme moi : au début des années 70, j'ai fait plusieurs albums pour me débarrasser des miens.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1
“L'Amérique changeait. Je sentais le destin en marche, je l'ai chevauché.” Bob Dylan, Chroniques, Volume 1

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