Le corps humain peut être affecté en bien des manières qui accroissent ou diminuent sa puissance d’agir et aussi en d’autres qui ne rendent sa puissance d’agir ni plus grande, ni moindre.
 Baruch Spinoza, Éthique (1677). copier la citation

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Auteur Baruch Spinoza
Œuvre Éthique
Thème corps puissance
Date 1677
Langue Français
Référence
Note Traduit par Charles Appuhn
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89thique_(Appuhn,_1913)

Contexte

“J’entends par Affections les affections du Corps par lesquelles la puissance d’agir de ce Corps est accrue ou diminuée, secondée ou réduite, et en même temps les idées de ces affections. Quand nous pouvons être la cause adéquate de quelqu’une de ces affections, j’entends donc par affection une action ; dans les autres cas, une passion. POSTULATS I. Le corps humain peut être affecté en bien des manières qui accroissent ou diminuent sa puissance d’agir et aussi en d’autres qui ne rendent sa puissance d’agir ni plus grande, ni moindre. Ce Postulat ou Axiome s’appuie sur le Postulat 1 et les Lemmes 5 et 7 qu’on voit à la suite de la Prop. 13, p. II II. Le Corps humain peut éprouver un grand nombre de modifications et retenir néanmoins les impressions, ou traces des objets” source