“ Une affection est d’autant plus en notre pouvoir et l’Âme en pâtit d’autant moins que cette affection nous est plus connue. ”
Baruch Spinoza, Éthique (1677). copier la citation
Auteur | Baruch Spinoza |
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Œuvre | Éthique |
Thème | âme affection |
Date | 1677 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Charles Appuhn |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89thique_(Appuhn,_1913) |
Contexte
“Si donc nous formons de cette affection une idée claire et distincte, il n’y aura entre cette idée et l’affection-elle-même, en tant qu’elle se rapporte à l’Âme seule, qu’une distinction de raison ( Prop. 21 , p. II, avec son Scolie); et ainsi (Prop. 3 , p. III ) l’affection cessera d’être une passion. C. Q. F. D.
COROLLAIRE Une affection est d’autant plus en notre pouvoir et l’Âme en pâtit d’autant moins que cette affection nous est plus connue. PROPOSITION IV Il n’est point d’affection du Corps dont nous ne puissions former quelque concept clair et distinct.
DÉMONSTRATION Ce qui est commun à toutes choses ne peut se concevoir qu’adéquatement (” source
COROLLAIRE Une affection est d’autant plus en notre pouvoir et l’Âme en pâtit d’autant moins que cette affection nous est plus connue. PROPOSITION IV Il n’est point d’affection du Corps dont nous ne puissions former quelque concept clair et distinct.
DÉMONSTRATION Ce qui est commun à toutes choses ne peut se concevoir qu’adéquatement (” source