“ Tu apprendras des gens de bien ce qui est honnête et vertueux ; mais si tu entres dans la société des méchants, tu perdras tout sens et toute raison. ”
Aristote, Éthique à Nicomaque (IVe siècle av. J.-C.). copier la citation
Auteur | Aristote |
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Œuvre | Éthique à Nicomaque |
Thème | société raison |
Date | IVe siècle av. J.-C. |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Jean-François Thurot |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/La_Morale_d%E2%80%99Aristote/Traduction_T... |
Contexte
“↑ Voyez, sur le même sujet, M. M. l. 2, c. 15 ; et Eudem. l. 7, c. 12. ↑ Voyez l’Oreste d’Euripide (vs. 667) . ↑ Voyez le chapitre viii du premier livre. ↑ Allusion à deux vers de Théognis (Sentent. vs. 55, 56) dont le sens est : « Tu apprendras des gens de bien ce qui est honnête et vertueux ; mais si tu entres dans la société des méchants, tu perdras tout sens et toute raison. » Cette maxime était, pour ainsi dire, devenue proverbe chez les anciens ; Xénophon, Platon et Aristote la citent plusieurs fois. ↑ Dans le premier livre, chapitre viii. ↑ Les Pythagoriciens, à la doctrine desquels Aristote fait allusion, regardaient le nombre fini, comme le symbole du bien, et le nombre infini, comme celui du mal.”
source