Le propre d'un grand homme est de dérouter les calculs ordinaires. Il est sublime et attendrissant, naïf et gigantesque.
 Honoré de Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées (1841). copier la citation

Contexte

“Quel bond de lion africain ! quelle ardeur contenue ! Quelle foi ! quelle sincérité ! quelle grandeur d'âme dans l'abaissement ! Je me suis sentie petite et me suis demandée tout abasourdie ! que faire ?… Le propre d'un grand homme est de dérouter les calculs ordinaires. Il est sublime et attendrissant, naïf et gigantesque. Par une seule lettre, il est au delà des cent lettres de Lovelace et de Saint-Preux. Oh ! voilà l'amour vrai, sans chicanes : il est ou n'est pas ; mais quand il est, il doit se produire dans son immensité.” source

Explications et analyses

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