“ La faim regarde la porte de l’homme qui travaille, mais elle n’ose pas y entrer. Les commissaires et les huissiers la respectent également ; car l’activité paie les dettes, et le désespoir les augmente. Vous n’avez besoin ni de trouver un trésor, ni d’hériter d’un riche parent : le travail est le père du bonheur, et Dieu donne tout à ceux qui s’occupent. ”
Benjamin Franklin, Vie de Benjamin Franklin (1791). copier la citation
Auteur | Benjamin Franklin |
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Œuvre | Vie de Benjamin Franklin |
Thème | bonheur travail |
Date | 1791 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | Traduit par Jean-Henri Castéra |
Lien web | https://www.atramenta.net/lire/vie-de-benjamin-franklin-ecrite-par-lui-m... |
Contexte
“Mais il faut alors qu’on fasse valoir son métier et qu’on suive sa profession ; sans quoi ni le fonds de terre, ni l’emploi ne nous aideront à payer les taxes.
» Si nous sommes laborieux, nous ne mourrons jamais de faim. La faim regarde la porte de l’homme qui travaille, mais elle n’ose pas y entrer. Les commissaires et les huissiers la respectent également ; car l’activité paie les dettes, et le désespoir les augmente. Vous n’avez besoin ni de trouver un trésor, ni d’hériter d’un riche parent : le travail est le père du bonheur, et Dieu donne tout à ceux qui s’occupent.
» Tandis que les fainéans dorment, labourez profondément votre champ ; vous recueillerez du bled et pour votre consommation, et pour vendre. Labourez aujourd’hui, car vous ne savez pas combien vous pourrez en être empêché demain.”
source