une femme heureuse sans s’attacher, c’est-à-dire sans l’abandon de son moi, à qui que ce soit d’ailleurs, est sans féminité aucune. L’homme aussi se donne, et c’est un défaut chez lui de ne pas le faire ; mais son moi n’est pas abandon (formule du féminin, substance de son moi) , et il n’en a non plus besoin, comme fait la femme, pour retrouver son moi puisqu’il l’a déjà
 Søren Kierkegaard, Traité du désespoir (1849). copier la citation

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Auteur Søren Kierkegaard
Œuvre Traité du désespoir
Thème abandon femmes
Date 1849
Langue Français
Référence
Note Traduit par Knud Ferlov et Jean-J. Gateau
Lien web