“ L’hospitalité, même la plus grande, a toujours un endroit où elle s’arrête, une extrémité, une fin. L’art de ceux qui la donnent est de ne pas montrer cette fin et l’art de ceux qui la reçoivent est de ne pas la voir. ”
Victor Hugo, Quatrevingt-treize (1874). copier la citation
Auteur | Victor Hugo |
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Œuvre | Quatrevingt-treize |
Thème | hospitalité art |
Date | 1874 |
Langue | Français |
Référence | |
Note | |
Lien web | https://fr.wikisource.org/wiki/Quatrevingt-treize |
Contexte
“et c’est pour le simple éclairage de l’homme, de ses batailles, de ses intrigues, de ses tricheries, de sa civilisation, de ses rois, de ses dames et de ses valets, que le Grand Être se livre à cette énorme consommation de soleils, allume les vingt-cinq milliards d’astres de la Voie lactée, dépense les météores, les bolides, les lunes, les planètes, les nébuleuses, l’aurore boréale, la lumière zodiacale, se ruine en comètes, et fait tous ces frais d’étoiles. En vérité, le jeu n’en vaut pas la chandelle.
Il disait :
L’hospitalité, même la plus grande, a toujours un endroit où elle s’arrête, une extrémité, une fin. L’art de ceux qui la donnent est de ne pas montrer cette fin et l’art de ceux qui la reçoivent est de ne pas la voir.
Il disait :
La torture est le tire-bouchon de la justice.
La dualité humaine se compose d’un mâle qui s’appelle Rien et d’une femelle qui s’appelle Personne.
Il disait à la duchesse :
— Nous sommes l’arbre ;”
source