Dieu ne plaisante jamais avec nous, et ne compromettre la fin de la nature, en permettant aucune inconséquence dans sa procession. Toute méfiance à l'égard de la permanence des lois paralyserait les facultés de l'homme. Leur la permanence est sacrée, et sa foi est parfaite. Les roues et les ressorts de l'homme sont tous mis à l'hypothèse de la permanence de la nature.
 Ralph Waldo Emerson, Nature (1836). copier la citation

ajouter
Auteur Ralph Waldo Emerson
Œuvre Nature
Thème compromis méfiance
Date 1836
Langue Français
Référence
Note
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Nature_(Emerson)

Contexte

“Quoi qu'il en soit, c'est idéal pour moi, tant que je ne peux pas essayer l'exactitude de mes sens. Les frivoles se plaisent avec la théorie idéale, comme si ses conséquences étaient burlesques; comme si cela affectait la stabilité de la nature. Cela ne l'est sûrement pas. Dieu ne plaisante jamais avec nous, et ne compromettre la fin de la nature, en permettant aucune inconséquence dans sa procession. Toute méfiance à l'égard de la permanence des lois paralyserait les facultés de l'homme. Leur la permanence est sacrée, et sa foi est parfaite. Les roues et les ressorts de l'homme sont tous mis à l'hypothèse de la permanence de la nature. Nous ne sommes pas construits comme un navire à lancer, mais comme une maison à tenir debout. C'est une conséquence naturelle de cette structure, que, tant que les puissances actives prédominent sur la réflexion, nous résistons avec indignation à tout indice que la nature est plus éphémère ou mutable que l'esprit.” source