L’amour permis agrandit ton âme. Pour toi, la vertu se trouvera dans le plaisir. Tu ne souffriras que de ton propre vouloir.
 Honoré de Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées (1841). copier la citation

Contexte

“J’étais un être auparavant, et je suis maintenant une chose ! Il est plus d’une larme que j’ai dévorée au loin, seule, et que j’aurais voulu donner en échange d’un sourire consolateur. D’où vient l’inégalité de nos destinées ? L’amour permis agrandit ton âme. Pour toi, la vertu se trouvera dans le plaisir. Tu ne souffriras que de ton propre vouloir. Ton devoir, si tu épouses ton Felipe, deviendra le plus doux, le plus expansif des sentiments. Notre avenir est gros de la réponse, et je l’attends avec une inquiète curiosité. Tu aimes, tu es adorée.” source