Le père d’une femme qu’on aime n’est jamais un étranger pour nous.
 Victor Hugo, Les Misérables (1862). copier la citation

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Auteur Victor Hugo
Œuvre Les Misérables
Thème femmes
Date 1862
Langue Français
Référence
Note
Lien web https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Misérables

Contexte

“et cet homme qui, le moment d’auparavant, n’avait l’air que d’un bon vieux homme, était devenu subitement une sorte d’athlète, et posait son poing robuste sur le dossier de sa chaise avec un geste redoutable et surprenant. Ce vieillard, si ferme et si brave devant un tel danger, semblait être de ces natures qui sont courageuses comme elles sont bonnes, aisément et simplement. Le père d’une femme qu’on aime n’est jamais un étranger pour nous. Marius se sentit fier de cet inconnu. Trois des hommes aux bras nus dont Jondrette avait dit : ce sont des fumistes, avaient pris dans le tas de ferrailles, l’un une grande cisaille, l’autre une pince à faire des pesées, le troisième un marteau, et s’étaient mis en travers de la porte sans prononcer une parole.” source