Des fleurs aux couleurs les plus fraîches, nombreuses et variées, implorent la pitié du passant pour leurs tendres corolles qu'un vent doux balance en un faisceau magique. La douceur des yeux bleus de la violette caressée par le souffle de l'air, semble briller de la riche couleur des cieux.
 Lord Byron, Le Pèlerinage de Childe Harold (1812). copier la citation

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Auteur Lord Byron
Œuvre Le Pèlerinage de Childe Harold
Thème douceur pitié
Date 1812
Langue Français
Référence
Note Traduit par Paulin Paris
Lien web https://www.gutenberg.org/files/27144/27144-h/27144-h.htm

Contexte

“117. mêlés dans un désordre fantastique; les vertes collines sont revêtues de fleurs printanières; le lézard à l'œil subtil bruit à travers le gazon, et les oiseaux du printems vous saluent en chantant. Des fleurs aux couleurs les plus fraîches, nombreuses et variées, implorent la pitié du passant pour leurs tendres corolles qu'un vent doux balance en un faisceau magique. La douceur des yeux bleus de la violette caressée par le souffle de l'air, semble briller de la riche couleur des cieux. 118. C'est ici, dans cette retraite enchantée, que tu choisis ton asile, ô Égérie! c'est ici que ton cœur tout céleste battait au bruit lointain des pas de ton mortel amant; la nuit voilait ce rendez-vous mystérieux de son dais étoilé, et assise à côté de ton bien-aimé, quel bonheur ne devais-tu pas ressentir?” source